23 septembre 2016
SAINT-ZACHARIE, LE 1 OCTOBRE pour le PIQUE-NIQUE DU SCRIPTORIUM
À chaque saison, son moment de « coïncidence » : le Scriptorium vous convie pour ce premier temps hors les murs à un Pique-nique à Saint-Zacharie (83). Ce village est situé au bord de l'Huveaune, au pied du massif Aurélien dans le Var.
La rencontre se fera en deux temps.
Le première épisode se déroulera dans le village. Nous nous promènerons d’une fontaine à l’autre et ferons provision d’impressions et de mots. Il faut dire que Saint-Zacharie ne manque pas de fontaines (mais d’eau, oui, cela arrive…) ; il y en a 16 dans le village. Des lectures ou prises de parole sur ce thème seront les bienvenues.
Dans un deuxième épisode, nous rejoindrons en voiture le Chemin des Arcades, à 1.5 km du village, où Rolland et Danièle nous accueilleront pour un pique-nique dans la vallée, au pied des chaînes de Regagnas et de la Sainte Baume. Munissez-vous de vos lectures coups de cœur et/ou vos créations récentes. On complètera par quelques pages volées à l’instant…
Le rendez-vous est prévu à 10h30 sur le parking de la Libération situé en face de la Maison du Peuple (Cf. Plan centre)- Covoiturage bienvenu: les scripteurs viennent de partout! Aix-en-Provence, Var, Vaucluse, Alpes-Maritimes...et même Marseille.
Chacun apportera de quoi passer un agréable déjeuner sur l’herbe en bonne compagnie.
La rencontre est gratuite pour les adhérents (adhésion annuelle 40 euros) .
Une participation de 5 euros sera demandée aux participants de passage.
Merci de nous confirmer votre présence avant le 28 septembre.
On se réjouit de commencer le bel octobre en votre compagnie.
Pour tout contact, Sophie : 06 10 65 65 66
Plan de Saint-Zacharie
Les scripteurs dans une précédente rencontre en 2016
16:14 Publié dans Hors les murs | Lien permanent | Commentaires (1)
Commentaires
Je suis retenu par d'autres obligations le 1er octobre et je le regrette bien.
J'ai toutefois été tenté, je n'ose dire "inspiré", d'écrire ce qui suit:
Epitaphe
Les gouffres amers sont autour de toi
Et tes pieds brûlants forment leurs plaies
Au sel des abîmes.
L’enfer était là bas derrière nous
Disait-on, mais là bas dans la nuit ?
Il n’est point besoin de tempête,
Dans un tel esquif.
As-tu su, ce qu’était que nager ?
Tu t’es dit : A quoi bon, maintenant
Je vais voler.
Le moteur s’était tu.
Par là haut les étoiles s’éloignaient un peu plus.
Aux épaules, les eaux arrivaient.
Il restait deux grands yeux, à jamais entrouverts.
Gérard Boudes
9 septembre 2016
Merci si ce texte est lu ou publié, bien à vous tous et avec toute mon amitié. Gérard
Écrit par : Gérard BOUDES | 23 septembre 2016
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