UA-156555446-1

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Au pays des formes brèves


 Intervalle  du 27 avril 2013 à Marseille

552104_4483779937840_753411367_n.jpg

 

Se laisser balbutier

par un mot juste ouvert.

Se laisser balbutier.jpg

Cette fois, c'est décidé, nous ferons bref.

Et évidemment, ça prendra un peu de temps…celui d’un intervalle avec les mots.

Nous tournerons résolument le dos aux sommes poétiques, odes interminables, et autres morceaux de bravoure épiques (tous aussi admirables les uns que les autres) pour nous rapatrier vers un pays à inventer ensemble : celui du presque rien, de la parole rare, des instantanés…Pierres de ricochets, mots en plume d’ange, phrases logées dans une coque de noix, à chacun ses élans minuscules, ses travaux d’approche « minimaliste ».                                                                                                    


La littérature, et particulièrement la poésie, fourmille d’exemples de ces textes courts qui nous laissent délicieusement en suspens. Micro-fictions, aphorismes, maximes, distiques, épigrammes, vers unique… Selon notre humeur du moment rieuse ou grave, pensive ou facétieuse, à nous d’inventer nos instants de comptoir poétique, de dessiner ensemble le pays des formes brèves qui nous ressemblera, le temps d’un intervalle.

 

 

 Et l’unique cordeau des trompettes marines  - Apollinaire

 

Qui n’aura trouvé le ciel ici-bas

Le manquera là-haut -

les anges louent la maison d’à côté

partout où nous allons –

                           Emilie Dickinson (traduction Charlotte Melançon)

 

         Je voudrais être une petite souris pour voir la tête des choses quand il n’y a personne - Henri-Frédéric Blanc

 

         L'éternité, c’est long. Surtout vers la fin. Woody Allen

 

Pour participer à la rencontre-intervalle, merci de nous écrire à: poesiescriptorium13@gmail.com

 

mur indien Dom.jpg

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Les commentaires sont fermés.